Développement personnel

  •   Le coaché doit avoir un haut degré ou indice d’enseignement (concept de base) pour mieux travailler : avoir cette volonté d’apprendre.

 

  • Qu’est ce que vous êtes prêt à abandonner sur une semaine, un mois, un an : avoir cette volonté d’accepter le changement.

 

  • Si vous voulez voir changer les choses dans votre vie, changer les choses dans votre vie !

 

  • PLUS DE DÉSIR : PLUS D’APPRENTISSAGE !

 

  • Vous ne connaissez pas ce que vous ne connaissez pas : incompétence inconsciente.

 

  • Qui écoutez-vous ? Développez votre incompétence inconsciente.

 

  • Balance de l’équilibre du travail (concept de base) : les pensées sont fondamentales, primordiales à la réalisation de ces rêves, travailler l’attitude.

 

  • Ne vous souciez pas du comment !

 

  • Développer votre compétence consciente pour mieux réaliser votre incompétence consciente et atteindre sa compétence inconsciente !

 

  • Travailler les circuits neuronaux qu’ils grossissent pour les habituer à fonctionner sur l’inconscient et les compétences.

 

  • Focalisez sur la « soif » d’apprendre !

 

  • Pratiquez autant que possible !

 

  • Vous devenez ce à quoi vous pensez !

 

  • Loi d’attraction, fréquences, vibrations similaires !

 

  • Avoir un désir ardent pour les choses que vous voulez obtenir !

 

  • Ce que vous voulez vous veut ! Vous créez par vos pensées !

 

  • Définissez votre rêve et ayez un désir ardent pour sa réussite !

 

  • Se sentir bien, tout de suite, maintenant !

 

  • Ce que vous dîtes, c’est ce que vous obtenez !

 

  • Le succès ne tient qu’à une décision !

 

  • Apprenez à dire merci aux choses qui vous entourent : tout est une question d’émission de bonnes vibrations !

 

  • Le carnet de notes pour le coaché est indispensable : écrire les rêves à la main, parfois le nettoyer si nécessaire !

 

  • Le tableau de rêves : images positives à stocker !

 

  • Penser à ce que vous voulez le plus souvent !

 

  • Focalisez sur ce que vous voulez et non pas sur ce que vous ne voulez pas !

 

  • Ne pas mettre une limite de temps sur les choses !

 

  • Cà va aller, tout va s’arranger, je sais pas comment mais…

 

  • Prédire le futur, c’est dire, parler du futur !

 

  • Prenez plaisir avec le processus d’obtenir quelque chose !

 

  • L’objectif est de se sentir bien tout le temps via les pensées !

 

  • Ajouter de la valeur à la société !

 

  • Rechercher le ressenti d’être au mieux ! Soyez précis !

 

  • Profondeur de vision : voir les choses comme elles pourraient devenir : voyez au-delà !

 

  • Meilleur gestion de son temps : pour une meilleure gestion de ses priorités !

 

  • Lire tous les jours, écouter des audio !

 

  • Prendre les échecs comme des réussites !

 

  • Faire marcher son pouvoir créatif en permanence !

 


CONCEPT PERMA

  • Positive Emotion : expression de l’amour, gratitude, satisfaction, plaisir, espoir

 

 

  • Engagement : lorsque nous nous engageons dans une activité, un projet, et que le temps s’arrête parce que nous ne faisons qu’un avec l’objet, préoccupation de soi disparaît et çà nous procure un sentiment d’accomplissement.

 

 

  • Relationship : entretenir des relations positives avec autrui (les amis, famille, voisins, contacts), participe au sentiment de bien être.

 

 

  • Meaning : les valeurs, les projets de vie, les croyances, l’engagement dans l’action.

 

 

  • Achievement : atteindre un ou des objectifs importants à nos yeux, se réaliser, favorise votre plénitude.

 

 

 

 European Network of Positive Psychology

 

  • Positive emotions are linked with improved health, well being, longevity, greater quality of life. It will improve performance, motivation, engagement, conflict resolution skills, original thinking. Regarding colleagues, it will help deal with stress and challenges get to know them. They will be more engaged and energized. A clue would be sharing a success story.

 

  • How would you like your goals? Be meaningful please. Can I have some values and strengths as well? Reward yourself in order to flourish through pleasure pathways. Small rewards can make you more generous, friendly, happy, productive and accurate at work, related to common sense not common practice.

 

  • Resulting positivity, engagement, connection, meaning, acknowledgement. To sum with, more contribution at large. The better your brain is at using its energy to focus on the positives, the greater your chances at success.

 

  • Better Mondays.

 

 

Apprendre à faire confiance à la vie

Ce qui est : ce que vous devez penser!


La force de l'optimisme

  • Le projet dont vous avez la responsabilité connaît une réussite éclatante : il me semble avoir surveillé de près le travail de chacun.

 

  • Vous vous perdez en voiture en allant chez un ou une ami(e) : Mon ami(e) m’a donné de mauvaises indications.

 

  • Vous oubliez l’anniversaire de votre conjointe ou petite amie : j’avais d’autres préoccupations en tête.

 

  • Vous recevez une fleur d’une admiratrice secrète : il me semble avoir beaucoup de succès auprès des femmes.

 

  • Vous manquez un rendez-vous important : quelque fois, j’oublie de consulter mon agenda.

 

  • Vous vous présentez aux élections municipales : le candidat victorieux avait plus de relation que moi.

 

  • Vous empêchez un crime en appelant leur « police » : il me semble avoir était très alerte ce jour-là.

 

  • Vous confectionnez un repas raffiné pour une amie qui y touche à peine : il me semble avoir préparé le repas trop hâtivement.

 

  • Vous tombez en panne d’essence tard le soir : la jauge d’essence ne fonctionnait pas.

 

  • Un animateur de jeu télévisé vous choisit parmi tous les assistants pour monter en scène : il me semble avoir était celui qui avait l’air le plus enthousiaste.

 

  • Au cours d’une soirée, on vous fait souvent danser : je suis assez sociable dans de telles situations.

 

 

  • Vous racontez une histoire drôle qui fait rire tout le monde : il me semble avoir su la placer au moment opportun.

 

  • Vous sauvez quelqu’un de l’étouffement : je sais quoi faire en situation de crise.

 

 

  • Votre patron vous demande un conseil : je suis plutôt bon conseiller

 

 

  • Un(e) ami(e) vous remercie de l’avoir aidé(e) à dépasser un moment difficile : je me soucie de mes amis.

 

  • Vous vous êtes beaucoup amusé à une soirée : il me semble avoir été sympathique.

 

 

  • Votre médecin vous dit que vous êtes en bonne santé : la santé me tient à cœur.

 

  • Votre petite amie vous emmène passer le week-end dans un endroit idyllique : elle aime découvrir des lieux nouveaux.

 

  • On vous demande de prendre la tête d’un projet important : je suis un bon animateur d’équipe.

 

  • Vous recevez une récompense prestigieuse dans votre entreprise : il me semble avoir été le meilleur salarié.

 

  • Vous ne parvenez pas à perdre les kilos pris pendant les vacances : le régime que j’ai essayé n’a pas marché.

 

  • Un magasin refuse votre carte de crédit : j’oublie parfois d’alimenter mon compte.

 

 

  • Un entretien d’embauche se passe particulièrement bien pour vous : je me débrouille bien dans les entretiens d’embauche.

 

  • Votre supérieur vous donne trop peu de temps pour terminer un projet mais vous y parvenez quand même : je suis quelqu’un d’efficace.


ÊTRE

HEUREUX ET

LE RESTER

  • 50% capital de départ : héritage génétique (qui nous sommes)

 

  • 10% circonstances extérieures : contexte riche et varié (ce que nous sommes)

 

  • 40% investissement personnel : nos comportements, nos pensées et les actions au quotidien

 

 

  • Exprimer sa gratitude (s’émerveiller, apprécier la vie, voir le bon côté des choses, prendre conscience de l’abondance de la vie, remercier quelqu’un, rendre grâce à Dieu, s’estimer heureux de ce qu’on a). Augmentation de la confiance en soi et de l’estime de soi, meilleure gestion du stress. Exprimer sa gratitude face à l’adversité. Le résultat est qu’on apprécie ce que l’on a, au lieu de s’obstiner à vouloir plus. Elle peut empêcher les gens de prendre pour acquis les bonnes choses qui leur arrivent et contrer directement le phénomène d’adaptation naturelle (hédonique).

 

  • Stratégie pour mieux tenir face à un traumatisme : l’écriture nous aide à comprendre l’épreuve, à négocier avec elle, à lui donner sens. L’écriture et le sens qu’elle apporte aident à réduire la fréquence et l’intensité des pensées obsessionnelles que provoque le traumatisme. Ecrire implique aussi qu’on s’adresse à un autre en soi ou un autre réel, qui ouvre l’espace d’un dialogue.

 

  • Stratégie de la réfutation : voir « la force de l’optimisme » écrit par Martin Seligman. Cette stratégie suppose que vous entriez dans un débat avec vos pensées négatives au lieu de leur laisser le contrôle. Quelle preuve ai-je de son indifférence ? Y a-t-il d’autres façons d’expliquer son comportement actuel ? Quand bien même ma croyance serait juste, que puis-je en déduire ? En somme, quel est la pire chose qui puisse m’arriver ? Le pire est-il vraiment sûr ? Quelle est la meilleure chose qui puisse m’arriver ? Est-ce possible ? Franchement, quel est le dénouement le plus probable ? Cette croyance m’est-elle utile ? Quel profit puis-je en tirer ? Enfin, que vais-je faire pour tenter de résoudre le problème ?

 

 

  • Cultiver l’optimisme et éviter de trop penser ou de se comparer à autrui. L’optimisme ne consiste donc pas seulement à se dire « j’y arriverai », mais à se demander comment ou y arrivera. Etre optimiste implique qu’on choisisse sa façon de voir le monde. Ce qui ne signifie pas qu’on nie les aspects négatifs ou qu’on évite toutes les informations défavorables. De fait, les chercheurs ont démontré que les optimistes sont plus avertis des risques et des menaces (ils ne se voilent pas la face) et qu’ils sont très conscients du fait que le résultat positif dépend de leurs propres efforts (ils n’attendent pas que les bienfaits leur tombent tout droit du ciel). Comme pour tout le reste, il faut pratiquer l’optimisme avec modération.

1)      Exprimez votre gratitude : inventoriez les aspects positifs de votre vie (pour vous-même ou autrui, mentalement ou par écrit). Faites part de votre gratitude à une ou plusieurs personnes que vous n’avez jamais remerciées comme il se devait.

 

 

2)      Cultivez l’optimisme : tenez un journal où vous imaginerez le meilleur des avenirs possibles ou entraînez-vous à voir le bon côté des choses.

 

 

3)      Évitez de trop penser et de vous comparer à autrui. Exploitez diverses stratégies (penser à autre chose) pour éviter de trop ressasser vos problèmes.

 

 

4)      Faites des B.A. Venez en aide à autrui, proche ou inconnu, directement ou discrètement, de façon spontanée ou planifiée.

 

 

5)      Cultivez une vie sociale. Consolidez vos liens encore fragiles, investissez du temps et de l’énergie pour sauver, entretenir, renforcer et apprécier ces relations.

 

 

6)      Entraînez-vous à tenir le coup dans l’adversité. A endurer ou surmonter le stress, la difficulté ou le traumatisme.

 

 

7)      Apprenez à pardonner : tenez un journal, écrivez une lettre où vous vous efforcerez de mettre à distance la colère et le ressentiment envers un ou plusieurs individus qui vous ont blessé.

 

 

8)      Engagez-vous plus à fond dans certaines activités. Augmentez le nombre d’expériences à la maison et au travail qui vous permettent de vous « lâcher », parce qu’elles sont stimulantes et absorbantes (les « petits bonheurs » du présent).

 

 

9)      Savourez les plaisirs de la vie. Concentrez-vous sur ces joies passagères, goûtez-les, revivez-les en pensée, par écrit, au moyen d’un dessin ou d’une conversation avec autrui.

 

 

10)   Engagez-vous à réaliser vos objectifs. Sélectionnez-en deux ou trois qui font sens pour vous et consacrez leur du temps et de l’énergie.

 

 

11)   Pratiquez une activité religieuse ou spirituelle. Soyez plus impliqué dans les activités de votre paroisse (catholique, protestante, musulmane…). Lisez et méditez des ouvrages portant sur des enjeux spirituels.

 

 

12)   Prenez soin de votre corps. Pratiquez une activité physique, entraînez-vous à méditer, à sourire, à rire.


TRUCS ET ASTUCES ANTI-STRESS

1)    Pratiquer le positivisme (une façon de voir la vie)

 

 

2)    Etre disciple et non victime des situations difficiles

 

 

3)    La situation ou problème devient mon point d’appui pour passer au niveau supérieur ou progresser

 

4)    Toutes nos souffrances, nos obstacles sont des défis de croissance

 

 

5)    Les difficultés sont là pour nous mettre en action et opérer le changement

 

6)    Lâcher prise pour rendre quelque chose moins tendue

 

7)    Accepter de s’ouvrir à ce qui vient

 

8)    Changer son regard, sa vision des choses, ses interprétations

 

9)    Stopper de vouloir tout contrôler

 

10)    Stopper de vouloir avoir raison

 

 

11)    Quelque fois, faire le deuil de quelque chose

 

 

12)    Pardonner

 

 

 

13)    S’accepter à tous les niveaux

 

 

 

14)    Acquérir les compétences nécessaires pour compter sur soi

 

15)    Vivre en accord avec ses motivations profondes

 

16)    Régulation émotionnelle (12 étapes)

 

17)    Savoir s’organiser et gestion du temps

 

18)    Gestion des conflits (D.E.S.C)


AFFIRMATIONS POSITIVES

  MÉTHODE ÉMILE COUÉ

-          Je connais des personnes qui ont réussi, alors moi aussi j’en suis capable !

 

-          Nous avons bien besoin de démarrer un jour, tous les coachs démarrent un jour et réussissent. Je sais que je vais réussir !

 

 

-          Je lâche prise, l’univers n’est qu’abondance et possède un réservoir illimité et comblera tous mes besoins et désirs !

 

-          Je veux me sentir bien, je suis en bonne santé, en énergie !

-          La profonde sagesse et la croissance sont toujours bien cachées dans nos nuits les plus noires : patience !

 

-          Objectifs : Plan d’action : Actions

 

 

 

-          Tous les jours à tout point de vue, je vais de mieux en mieux !

 

 

 

-          Je m’installe en tant que coach de vie et je réussis !


«C’est une chose mystérieuse que ce qui apparaît élégant a de meilleures chances d’être vrai que ce qui est laid. »

Roger Penrose, mathématicien

Le monde de la productivité et de la rentabilité, des marchés et de l’économie mondialisée, investi par les chiffres, les pourcentages, le quantifiable a méthodiquement évincé nos perceptions et nos impressions, voire notre sensibilité et notre créativité. Or, nous le savons, la complexité croissante du monde actuel ne peut se saisir seulement par des équations, des schémas ou des modèles.

L’histoire des représentations de l’espace, chez les scientifiques comme chez les artistes, le montre particulièrement bien. Pour le comprendre, Jean-Pierre Luminet, astrophysicien de renom, nous introduira dans les coulisses de la recherche des sciences de l’univers.

Du cosmos clos de l'Antiquité aux univers de la cosmologie moderne, il nous montrera à quel pointles processus de création -en science et en art- s’interpénètrent et reposent avant tout sur une approche émotionnelle du monde, tout autant que sur des principes esthétiques (la symétrie, la beauté, l’économie de moyens...).

Ainsi, les qualités telles   que l’écoute, l’intuition, l’imagination sont aussi essentielles que l’esprit scientifique. Non seulement elles accompagnent la dynamique rationnelle, la pensée “exacte”, mais délivrent une approche incomparable du vivant et du complexe.

A travers l’analyse d’œuvres de divers artistes et scientifiques créatifs, comme Platon, Dürer, Van Gogh, Kepler, Escher ou Einstein, nous appréhenderons la manière dont la créativité s’est exprimée au sein de contraintes fixées par leurs disciplines.

Une invitation inspirante pour s’interroger à l’espace que nous laissons à l’imagination dans notre organisation ou dans notre travail...


Passage de L'EGO vers L’UNICITÉ en 7 ÉTAPES ("NAFS")

1) Dépravé : juger et accuser les autres sur sa propre situation.

 

2) Réprobateur : se remettre en cause et trouver l'erreur en soit.

 

3) Inspiré : prendre connaissance et s'instruire, curiosité et écoute.

 

4) Serein : sagesse, respect, prise de recul, empathie, compassion

5) Accompli(e) : être heureux de toute situation et quelque soit la situation en faisant abstraction de toutes informations externes, accepter et prendre les opportunités qui se présentent en faisant confiance à soi et aux signes (destin).

6) Épanouissant : être un guide pour les autres, être un soleil rayonnant d'énergie, conseiller, aider, pouvoir de guérison.

7) Purifié : n'être rien en soit, mais tout à la fois, se déplacer par les pensées, voir et sentir ce que les autres ne voient pas, se laisser porter par son destin, suivre son chemin, accomplir sa mission

Nous avons toutes les solutions en nous pour atteindre l'unicité, il va falloir juste arriver à les voir, à les comprendre, et à utiliser la bonne clef.


Traite de psychologie positive (1ère Partie)

Ø  La psychologie positive propose une vision renouvelée de l’être humain, en focalisant sur les aspects positifs de l’existence des personnes et des groupes.

 

Ø  L’objectif de la psychologie positive est de commencer à catalyser un changement dans l’optique de la psychologie en la faisant passer d’une centration exclusive sur la pathologie et le traitement des pires choses pouvant arriver dans la vie, à une centration sur ce qui permet de construire des qualités positives.

 

Ø  En fait, ce sont surtout les relations humaines et le sentiment d’accomplissement personnel qui conduisent au bonheur, notamment par l’engagement dans des actions qui ont du sens aux yeux de la personne.

 

Ø  Le bonheur arrive donc par surcroît, sans qu’on le cherche, tandis que la quête effrénée pour l’atteindre risque fort de s’avérer vaine.

 

Ø  Il existe deux conceptions du bonheur : d’une part l’approche hédonique qui analyse le bien être subjectif (émotions positives et les situations de plaisir), d’autre part l’approche eudémonique qui se focalise plutôt sur la mobilisation des ressources dans le but d’accroître l’autonomie individuelle et les relations interpersonnelles. L’eudémonisme est source d’un bonheur plus profond et durable.

Ø  La psychologie positive se tourne également vers l’aspect relationnel, en mettant en évidence le rôle central des relations humaines dans le bonheur et le sens de l’existence. L’empathie, la gentillesse, la gratitude, font partie des thèmes importants de recherche de ce courant.

 

Ø  La psychologie positive étudie essentiellement le comportement des gens ordinaires, qui « vont bien ». Elle propose également d’aller « encore mieux » par diverses techniques. Mais elle ne s’interdit pas non plus de comprendre le fonctionnement des personnes en souffrance, afin d’essayer de les soulager. Mais c’est alors toujours dans une dynamique tournée vers un présent actif et un avenir teinté d’espoir plutôt que vers le passé douloureux.

 

Ø  Or on ne sait rien ou pas grand-chose sur les individus qui vont bien ou qui se sentent bien. C’est là qu’apparaît un changement de perspective radical (par rapport à la psychologie classique), qui abandonne la pathologie et le traitement du pire pour une analyse du bon et, plus généralement, des qualités positives.


Traite de psychologie positive (2ème partie)

Ø  L’un des objectifs majeurs de la psychologie positive est de permettre aux individus de se remettre d’un choc, de faire face, de revenir à un niveau d’équilibre après qu’ils aient expérimenté des moments difficiles dans les différents contextes de la vie. Il s’agit aussi de permettre aux individus de tirer quelque chose de plus de ces épreuves, d’autres compétences, d’autres aptitudes et peut être d’autres talents.

 

Ø  En premier lieu, il s’agit de comprendre comment les individus peuvent mettre en valeur, améliorer et tirer le meilleur de leurs forces et de leurs compétences tout au long de leur vie.

 

Ø  La gratitude est un état d’esprit ou un sentiment de reconnaissance envers une personne dont on a reçu un bienfait ou un service, et qui nous incite à donner quelque chose en retour.

 

Ø  Le domaine de la psychologie positive à un niveau subjectif concerne la valorisation des expériences subjectives : le bien être, la satisfaction (dans le passé), les états de grâce, le bonheur (pour le présent), l’espoir et l’optimisme (pour le futur).

 

Ø  A un niveau individuel, il s’agit des traits de personnalité positifs : la capacité d’aimer et de trouver sa vocation, le courage, la modération, la sensibilité esthétique, la persévérance, la capacité à pardonner, l’originalité, la conscience du futur, la spiritualité, le talent et la sagesse.

 

Ø  Au niveau du groupe, il s’agit des vertus civiques et des institutions qui incitent les individus à une meilleure citoyenneté : les habiletés interpersonnelles, la responsabilité, la capacité à prendre soin des autres, l’altruisme, la courtoisie, la tolérance et l’éthique au travail.

 

Ø  Le traitement ne consiste pas uniquement à déterminer ce qui ne va pas, il cherche aussi à développer le meilleur. On ne chasse pas un passé malencontreux ; on est tiré et attiré vers un avenir prometteur.

 

Ø  Les praticiens ont besoin de reconnaître qu’une grande part de leur travail le plus efficace consiste plus à amplifier les forces qu’à combler les manques de leurs patients.

 

Ø  Les théories majeures dans le domaine de la psychologie ont permis de développer une nouvelle science de la force et de la résilience. Les théories dominantes ne voient plus les individus comme des êtres passifs répondant à des stimuli mais plutôt comme étant des preneurs de décisions avec des choix, des préférences, la possibilité d’apprendre et d’être efficaces.

 

Ø  L’objectif de ce texte est de mettre en valeur la psychologie positive en tant que véritable science permettant de combler des manques dans nos connaissances afin de mieux comprendre et de mieux construire les facteurs qui permettront aux individus, aux communautés et aux sociétés de s’épanouir pleinement.

 

Ø  Dans une métaphore, il était dit que la psychologie apprenait à remonter les individus de moins sept à zéro, mais qu’elle ne comprenait pas bien comment les personnes montaient de zéro à plus sept.

 

Ø  Certains scientifiques ont démontré que les événements négatifs ont un impact plus  important que les événements positifs, et que l’information à propos des mauvaises choses est traitée de manière plus exhaustive que l’information sur ce qui est bon. Alors que les événements, les informations, les processus et les interactions positifs se produisent tout simplement plus fréquemment que les événements négatifs.

 

Ø   Il nous paraît que notre but n’est pas d’effacer ou de suppléer les travaux sur la pathologie, la détresse, et le dysfonctionnement, mais de développer ce que nous savons sur la résilience humaine, les forces et la croissance et d’ainsi intégrer et compléter la base de connaissances existante.

 

Ø  La tâche future de la psychologie positive consistera à comprendre les facteurs de développement des forces qui permettent de décrire les contextes de résilience, déterminent le rôle des expériences positives et délimitent la fonction des relations positives avec les autres.


Traite de psychologie positive (3ème partie)

Ø  Les 3 piliers originaux de la psychologie positive sont l’expérience subjective positive, les caractéristiques individuelles positives (forces et vertus) et les institutions et communautés positives. Jusqu’à présent, la psychologie positive a produit beaucoup de nouvelles études sur les deux premiers domaines mais beaucoup moins dans le troisième. L’objectif est d’améliorer réellement le fonctionnement des écoles, des lieux de travail et même des gouvernements.

 

Ø  La psychologie positive a notamment démontré que les émotions positives favorisent la mobilisation des ressources personnelles, la planification des objectifs et l’investissement d’énergies, et qu’en outre elles encouragent la flexibilité d’esprit et la créativité ainsi que les comportements pro-sociaux et d’aide.

 

Ø  Les travaux de Mihaly Csikszentmihalyi ont permis d’identifier l’expérience optimale ou flow parmi les fluctuations quotidiennes de l’état de conscience : il s’agit d’une condition de forte concentration, d’engagement, de gratification et d’état affectif positif dont les caractéristiques sont apparemment stables et récurrentes.

 

Ø  La notion du bien être psychologique : il s’agit d’une notion complexe faite de six éléments : autonomie, maîtrise de l’environnement, acceptation de soi, croissance personnelle, relations sociales positives, objectifs de vie.

 

Ø  La notion du bien être social : elle se compose de cinq éléments : l’acceptation sociale, la réalisation sociale, la contribution sociale, la cohérence sociale et l’intégration sociale.

 

Ø  Le bonheur est un processus qui se construit à travers le temps, se modifie au cours de la vie en fonction des événements et des expériences, et participe à des aspects plus structurels de l’identité personnelle. Aussi le bonheur est-il dans cette perspective le résultat de la vision et de la représentation de la réalité, de la hiérarchie des valeurs, du sens attribué aux événements et à l’existence, des attentes et des objectifs qui caractérisent chaque individu.

 

Ø  L’auto-efficacité est source de bien être puisque la confiance en ses propres capacités et l’attente de résultats positifs sont les moteurs de l’engagement, de la persévérance face aux obstacles, de la satisfaction personnelle à atteindre les objectifs.

 

Ø  Selon des chercheurs, la motivation intrinsèque est basée sur trois besoins psychologiques innés qui sous-tendent le fonctionnement optimal et le développement de l’individu : le besoin de compétence, le besoin d’autonomie et le besoin d’affiliation.

 

Ø  Le style explicatif optimiste se manifeste lorsque les événements positifs sont attribués à des causes internes, stables, globales (capacités et ressources propres) et les événements négatifs à des causes externes, instables et circonscrites.

Ø  Des chercheurs définissent la « bonne vie » à partir de six vertus universellement reconnues comme étant des valeurs fondamentales : la sagesse, le courage, l’humanité, la justice, la tempérance et la transcendance.

 

Ø  Le bien être psychologique est associé à la recherche de défis forts, à l’accroissement des compétences, à la construction et au maintien de relations sociales complexes et approfondies, au développement de caractéristiques psychologiques qui différencient chaque individu des autres membres de la communauté et qui contribuent à développer son autonomie et son identité propre.

 

Ø  Le bien être est la conséquence complexe de divers composants, incluant la maximisation des ressources et le développement des potentialités, ainsi que l’amélioration des compétences et de l’adaptation sociale.

 

Ø  Le bien être subjectif fait référence à l’évaluation que font les individus de leur vie et comprend à la fois un jugement cognitif de la satisfaction et une appréciation affective des humeurs et des émotions.

 

Ø  Cette conceptualisation souligne sa nature subjective et tient les individus pour meilleurs juges de leur propre bonheur.

 

Ø  Ces éléments incluent la satisfaction de vie (évaluation globale de sa propre vie), la satisfaction à l’égard de domaines importants de la vie (satisfaction à l’égard de son travail, de sa santé, de son mariage), l’affect positif (prévalence des émotions et humeurs positives), et de faibles niveaux d’affect négatif (prévalence des émotions et humeurs négatives).

 

Ø  Les affects positifs et un bien être général produiraient un état à partir duquel les individus peuvent explorer l’environnement avec confiance et approcher de nouveaux objectifs, ce qui leur permettrait de développer d’importantes ressources personnelles.

Ø  L’attention excessive et obsessionnelle accordée à son propre bonheur peut mener à l’échec, il existe des activités que les individus peuvent choisir d’exercer délibérément ou des changements au niveau du style de vie qui l’augmenteront, tels que la méditation ou le fait de s’estimer chanceux.

 

Ø  Dans une étude où les participants avaient été exposés à un virus du rhume, ceux qui rapportaient des niveaux élevés de bonheur s’étaient révélés moins vulnérables.

 

Ø  Le sentiment de trouver du sens, d’avoir un objectif et de s’accomplir l’emporte typiquement sur le plaisir comme facteur prédictif du bonheur.

 

Ø  Le bonheur semble faire ressortir le meilleur des humains, les rendant plus sociables, plus coopératifs et même plus éthiques.

 

Ø  Les pays les plus heureux manifestent des niveaux plus élevés de confiance généralisée, de bénévolat et d’attitudes démocratiques.


traite de psychologie positive (4ème partie)

Ø  Récemment, certains psychologues ont proposé qu’en plus des indicateurs économiques et sociaux qui prévalent de nos jours, les gouvernements devraient utiliser un indice national du bonheur, du bien être, pour les aider à définir leur politique.

 

Ø  Le bien être n’est pas seulement appréciable parce que cela fait du bien, mais aussi parce qu’il entraine des conséquences bénéfiques. Ce fait rend impératif le suivi national et corporatif du bien être.

 

Ø  Afin de faciliter l’usage des mesures du bien être dans la définition d’une politique, nous proposons de créer un indice national de bien être qui évaluerait systématiquement des variables clés du bien être pour des échantillons représentatifs de la population.

 

Ø  Les variables mesurées devraient comprendre les émotions positives et négatives, l’implication, la résolution, l’attribution de sens, l’optimisme et la confiance, ainsi que le vaste concept de satisfaction de vie.

 

Ø  Une évaluation périodique et systématique du bien être offrira aux décideurs un ensemble beaucoup plus solide de données dont ils pourront se servir dans leur prise de décisions.

 

Ø  Enfin nous affirmons que les indicateurs nationaux sont nécessaires non seulement parce que le bien être constitue un aboutissement en soi, mais aussi parce que le bien être est si souvent la cause d’autres effets valorisés tels que la productivité des travailleurs et des relations enrichissantes.

 

Ø  Le système d’indicateurs du bien être que nous proposons ne remplacerait pas les indicateurs économiques ou d’autres indicateurs sociaux actuels, mais leur ajouterait une valeur supplémentaire en les situant dans un cadre général de bien être, en soulignant les limites des indicateurs économiques classiques.

 

Ø  Les indicateurs économiques ont échoué à rendre compte de la qualité de vie.

 

Ø  Dans la technique d’échantillonnage d’expériences, les humeurs et les émotions des individus sont enregistrées « en ligne » à des moments aléatoires de la vie quotidienne, par le biais d’un appareil tel qu’un ordinateur portable.

 

Ø  Une méthode similaire consiste à demander aux individus de noter leurs sentiments et leurs activités à la fin de chaque journée.

 

Ø  Nous proposons donc un système national plus étendu et plus approfondi que les enquêtes actuelles qui ne fondent leur conclusion que sur quelques items généraux

 

Ø  Les individus qui possèdent le bien être le plus important « ne sont pas ceux qui vivent dans les pays les plus riches mais ceux qui vivent là où les institutions sociales et politiques sont les plus efficaces, où la confiance réciproque est élevée et où la corruption est faible ».

 

Ø  En considération des données actuelles, il apparaît que les nations qui ont un bien être moyen élevé peuvent être décrites comme des démocraties dotées de gouvernements efficaces et stables, mais aussi comme des sociétés qui possèdent un capital social important, sont croyantes et ont des économies solides avec de faibles taux de chômage et d’inflation.

 

 

Ø  Les emplois épanouissants tendent à posséder les caractéristiques suivantes : des opportunités de contrôle personnel, des occasions d’utiliser ses compétences, une variété de tâches, la sécurité physique, le soutien des supérieurs, le respect et un statut important, le contact interpersonnel, une bonne rémunération et de bons avantages, des exigences claires et une information sur comment atteindre ces objectifs.

 

Ø  Par exemple, la souplesse des horaires, des solutions de garde d’enfants, la possibilité de travailler à son poste de domicile, les options sur titres et des conditions généreuses de congé parental peuvent toutes améliorer la satisfaction au travail si elles sont bien mises en place.

 

Ø  De manière similaire, apprendre aux managers à féliciter les salariés de manière appropriée et à leur donner un retour sur leur travail, encourager les liens amicaux et apporter aux salariés ce dont ils ont besoin sont autant de façons d’améliorer la satisfaction au travail.

 

Ø  Il est surprenant de constater que les personnes en mauvaise santé s’adaptent souvent bien à leur condition et rapportent des niveaux positifs de bien être, cela témoigne de la résilience psychologique humaine.

 

Ø  Les relations sociales constituent un autre facteur majeur qui affecte le bien être et le mal être mais qui n’est pas pris en compte par les indicateurs économiques (par exemple les délocalisations).

 

Ø  Les indicateurs sociaux actuels peuvent permettre de repérer tels que le crime, le mariage et le divorce, les problèmes de l’environnement (pollution), la longévité et la mortalité infantile, l’égalité des sexes dans les écoles et la quantité de terrains réservés aux parcs.

 

Ø  Néanmoins, ces indicateurs sociaux ne parviennent pas à décrire pleinement le bien être des nations parce qu’ils ne reflètent pas les expériences réelles des individus, la qualité de leurs relations, la régulation de leurs émotions, le fait de se sentir impliqué dans leur travail, si des sentiments de solitude et de dépression caractérisent leur vie quotidienne.

 

Ø  Aussi, les organisations devraient respecter les habitudes amicales des personnes au travail et ne pas tenter d’éliminer les opportunités d’amitié dans l’idée erronée que les salariés travailleront mieux s’ils ne sont pas distraits par leur présence.

 

Ø  Création d’un système d’indicateurs nationaux du bien être : échantillonner de manière large et représentative divers groupes de participants dans un pays, inclure des mesures de dimensions larges du bien être, telles que la satisfaction de vie, le fait d’attribuer un sens à sa vie et d’avoir des objectifs, la confiance, l’implication, la dépression, ainsi que les émotions positives er négatives.

 

Ø  Ce système devrait également inclure des mesures plus ciblées du bien être en lien avec différents aspects de la vie, tels que le travail, la santé, la famille, la communauté et les loisirs.

 

 

Ø  Il devrait également inclure des mesures permanentes qui sont utilisées dans tous les échantillons ainsi que des mesures et des échantillons spécifiques portant sur des questions d’actualité.

 

Ø  Il devrait également inclure des mesures approfondies au cours du temps sur des sous-échantillons afin d’évaluer l’expérience à mesure qu’elle a eu lieu, plutôt que de compter sur la capacité de rappel des personnes.

 

Ø  Suivre des sous-groupes de manière longitudinale afin d’apporter une meilleure compréhension des changements au fil du temps.


traite de psychologie positive (5ème partie)

Ø  Un indicateur national devrait inclure plusieurs indicateurs globaux, tels que la satisfaction de vie, mais il devrait également cibler les émotions positives et négatives dans des domaines précis, tels que la vie au travail, la santé, les relations sociales et la santé mentale, et il devrait être très détaillé, décomposant la satisfaction de vie en des éléments qui la constituent.

 

 

Ø  Un système national d’évaluation du bien être coûtera des millions de dollars chaque année. Ce coût est néanmoins minuscule en comparaison avec le coût des évaluations économiques, dont l’inadéquation est flagrante pour déterminer comment se portent les pays développés. Les bénéfices promettent d’être énormes. Ils comprendront des changements au niveau des politiques qui avec le temps amélioreront de la plupart des gens.

 

 

Ø  Quand les individus continuent à travailler malgré leurs troubles, les indicateurs économiques peuvent totalement passer à côté de la souffrance qui est présente. Les personnes qui ont des troubles dépressifs ou anxieux, par exemple, continuent parfois à fonctionner au travail, tout en étant malheureux. En outre, les indicateurs économiques ne donnent aucune indication pour comprendre pourquoi la productivité de ces individus peut être faible.

 

 

Ø  Alors que les sociétés s’enrichissent, les disparités en termes de bien être, quant à elles, sont moins souvent attribuables aux revenus et plus fréquemment à des facteurs tels que les relations sociales et l’épanouissement au travail.

 

 

Ø  De nos jours, les connaissances se portent davantage sur les conditions matérielles de vie des personnes par rapport à la qualité de vie perçue, que nous appelons leur « bien être ».

 

 

Ø  Il existe donc un besoin avéré d’indicateurs subjectifs du bien être qui apporteraient une information plus complète et qui pourrait permettre d’expliquer toute disparité entre la prospérité relative et les problèmes individuels et sociaux.

 

 

Ø  Ces indicateurs subjectifs fiables pourraient servir à adapter les directives et à évaluer tant le changement que les effets des nouvelles politiques.

 

 

Ø  Les spécialistes de la psychologie positive ont lancé un appel pour la création d’un index national du bien être qui évaluerait systématiquement les variables clés du bien être pour des échantillons représentatifs, incluant les émotions positives et négatives, l’implication, la détermination et le sens, l’optimisme et le confiance, et la satisfaction de vie, autant que la satisfaction à l’égard de divers domaines spécifiques de la vie.

 

Ø  Une visée spécifique consistait à incorporer deux approches théoriques distinctes du bien être : l’approche hédonique, qui se préoccupe du plaisir, de l’appréciation et de la satisfaction, et l’approche eudémonique, qui se préoccupe du fonctionnement et de la réalisation de notre potentiel.

Ø  Seligman définit le bonheur comme la combinaison du plaisir, de l’implication et du sens, en identifiant le plaisir comme la composante hédonique et l’implication et le sens comme les éléments eudémoniques.

 

Ø  Le concept du bien être se base sur le « faire » plutôt que sur « l’être ».

 

Ø  Les femmes sont davantage susceptibles de rapporter un niveau de bien être faible lorsque celui-ci est évalué à travers la dépression et des affects positifs réduits, mais qu’elles ont plus de probabilité de déclarer qu’elles sont traitées avec respect.

 

Ø  Les hommes tendent plus souvent à dire qu’ils ont le temps de faire ce qu’ils aiment et à avoir fait du bénévolat.

 

Ø  Le nouveau Module « bien être » de l’Enquête Sociale Européenne (ESS) présente l’occasion d’une description nuancée de la manière dont les citoyens de l’Europe perçoivent leur vie.

 

Ø  Nous croyons que ce Module fournira des informations inestimables aux sciences comportementales et sociales et qu’il contribuera au développement de directives et de pratiques destinées à améliorer le bien être à travers l’Europe.

 

Ø  Le Module bien être ESS (European Social Survey) représente l’une des premières tentatives systématiques de créer un ensemble de comptes-rendus du bien être national qui soient pertinents pour future définition de directives politiques ou sociales.

 

Ø  Le bonheur est déterminé par l’assouvissement des besoins.

 

Ø  Les gains les plus importants par rapport au bonheur se trouveraient sur les plans de la liberté et de la justice. Une bonne gouvernance semble aussi pouvoir contribuer considérablement au bonheur moyen des pays, indépendamment de la couleur des partis politiques au pouvoir.

 

Ø  Une autre source de bonheur se situe au niveau des contextes institutionnels dans lesquels nous passons l’essentiel de notre temps, tels que le travail ou l’école.

 

Ø  Le bonheur peut être augmenté au niveau individuel de trois façons : en enseignant des habiletés dans l’art de vivre, en informant les gens des conséquences probables de leurs choix, en améliorant les conseils professionnels d’accomplissement de soi et des choix de vie.

 

Ø  La manière la plus évidente d’accroître le bonheur dans la société moderne consiste à renforcer les compétences de vie (thérapie, formation).

 

Ø  « L’art de vivre » correspond à la capacité de mener une vie satisfaisante et, en particulier, celle de développer un style de vie gratifiant. Ceci comprend divers aptitudes, dont certaines paraissent susceptibles de s’améliorer par le biais de techniques de formation. Quatre de ces aptitudes sont : la capacité à prendre du plaisir, la capacité à choisir, la capacité à continuer d’évoluer et la capacité à trouver du sens.

 

Ø  Apprendre à savourer les plaisirs simples fait partie de certaines pratiques religieuses.

 

Respirez! Il ne Manque Presque Rien!

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